Période sombre et lumineuse et toujours paradoxale.
Journalisme.
Le féminisme.
Le travail en usine.
Le monde de la nuit dans les quartiers chauds.
Le retour à l’université.
Rencontre avec les arts plastiques contemporains.
La mutation de Saumebodie: Morval, Morvale.
Cette période est excessivement riche. C’est le monde du manège désenchanté. Ou du vécu à plus de 200 km/heure dans un monde où l’alcool coule dans les veines pour aider à vivre ou à mourir à soi-même. Je vivais le journalisme comme un regard aiguisé sur l’autre ce qui m’évitait de me voir, caché que je fus derrière une carte de presse. Comment avec l’éducation qu’elle reçut Rochat de la Corne a pu vivre dans un travail à la chaîne, passant des tramways bourrés d’ouvrières et d’ouvriers à un petit trois pièces avec vue sur cour. (DB/octobre 2013)